"J'aime Dijon comme l'enfant la nourrice dont il a sucé le lait, comme le poète, la jouvencelle qui a initié son coeur"
"Scène indoustane"
Parmi les textes lus à la Société d'Etudes de Dijon en 1827, on trouve : "Le soir aux portes de Schiraz" qui deviendra : " Scène indoustane", dont voici l'un des manuscrits :